- EAN13
- 9782204143264
- Éditeur
- Les éditions du Cerf
- Date de publication
- 15/04/2021
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Cerf 16,00
La combattante courageuse contre l'envoilement nous fait découvrir l'envers du
décor. Une plongée comme jamais, vivante, empathique et critique dans
l'univers des jeunes des banlieues, l'ordinaire des profs, le quotidien des
filles partagés entre la réalité d'ici et l'irréalité de là-bas. Un plaidoyer
républicain.
Nostalgie. Algérie. Jérémiades. C'est par ces trois mots, regroupés en
Nostalgériades que s'ouvre le nouveau livre de Fatiha Agag-Boudjahlat,
alternant l'essai politique et le récit autobiographique. Décrivant les naïves
croyances des collégiens auxquels elle enseigne chaque jour (" Au bled, ça
coûte rien ", " Seul Allah guérit "), et la difficulté qu'éprouvent les
professeurs à enseigner la colonisation, la guerre d'Algérie ou la Shoah, la
cofondatrice du mouvement Viv(r)e la République décrypte la condition
féminine, en France comme dans les pays de culture musulmane. Rêvant d'un
MeToo mondial, elle affirme dans sa splendide conclusion que si la condition
féminine est un malheur, alors " il ne faut pas renoncer à ce malheur ".
Sans langue de bois, sans naïveté et sans ressentiment, voici le nouvel essai
flamboyant d'une femme puissante appelé à provoquer le débat.
décor. Une plongée comme jamais, vivante, empathique et critique dans
l'univers des jeunes des banlieues, l'ordinaire des profs, le quotidien des
filles partagés entre la réalité d'ici et l'irréalité de là-bas. Un plaidoyer
républicain.
Nostalgie. Algérie. Jérémiades. C'est par ces trois mots, regroupés en
Nostalgériades que s'ouvre le nouveau livre de Fatiha Agag-Boudjahlat,
alternant l'essai politique et le récit autobiographique. Décrivant les naïves
croyances des collégiens auxquels elle enseigne chaque jour (" Au bled, ça
coûte rien ", " Seul Allah guérit "), et la difficulté qu'éprouvent les
professeurs à enseigner la colonisation, la guerre d'Algérie ou la Shoah, la
cofondatrice du mouvement Viv(r)e la République décrypte la condition
féminine, en France comme dans les pays de culture musulmane. Rêvant d'un
MeToo mondial, elle affirme dans sa splendide conclusion que si la condition
féminine est un malheur, alors " il ne faut pas renoncer à ce malheur ".
Sans langue de bois, sans naïveté et sans ressentiment, voici le nouvel essai
flamboyant d'une femme puissante appelé à provoquer le débat.
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